Récemment d’éminents confrères se sont penchés sur le sujet sensible de l’encadrement de notre pratique. En plus du Maroc où ce sujet était abordé, d’autres pays comme le notre se posent les mêmes questions.
Elles concernent l’information donnée au candidat à l’intervention, son suivi, les documents que le chirurgien doit fournir, son habilitation.
Et tout ceci est bien normal, car la chirurgie plastique nonobstant son caractère de médecine non thérapeutique implique des actes qui engagent la santé du patient; et ce dans la mesure où la majeure partie des interventions de chirurgie esthétique concerne des actes avec un geste d’incision.